These tracks were recorded at home, and are in a demo form. They nevertheless represent a lot of work. Please be aware that because they haven’t been mastered, some levels are lower than others. They were never released, but You can still purchase and download them in the red link below each one.
Enjoy.

La Montée des eaux

Charles Hubschi

On dirait l’écume blanche des vagues déferlant sur la plage,
Mais ce sont les crinières blanches des chevaux sauvages !

C’est la montée des eaux, regardes les oiseaux…
Leurs vols annonçant les cavaliers de l’orient.

C’est dans la douce lumière de ce matin évaporé,
Que nos vaines prières se sont envolées.

La crainte et nos rêves à l’agonie, font surgir le loup affamé.
Le bonheur que l’ego nie blessé nos coeurs apeurés.

C’est la montée des eaux, regardes les oiseaux…
Leurs vols annonçant les cavaliers de l’orient.

Mais pourtant il y a le vent, le sifflement dans la mâture,
Toutes ces fleurs à bout de champs et ta douce courbure.

Je n’oublie pas « le poête et l’amant », les joies les déchirures
Tout ce qu’on croyait vivant et qui s’enfuie dans la démesure.

C’est la montée des eaux, regardes les oiseaux…
Leurs vols annonçant les cavaliers de l’orient.
C’est la montée des eaux, regardes les oiseaux…
Leurs vols annonçant les cavaliers de l’orient.


Lyrics and Voice by Charles Hubschi.
Music, Keyboards, Drums & Bass by Philippe Niel.

© 2014 Charles Hubschi & Philippe Niel.

 L’Aube des Jours

Charles Hubschi

L’Aube des Jours

Sur le grand chemin de nos vies,
Dans tout les Temples de nos Coeurs,
Sous les Voûtes, entre les Arches
Je pensa à toi mon Ame soeur.

Sur la montagne je prend mon envol,
Jusqu’à toi sans un bruit semant,
Nous épouserons les formes,
Pour nous unir sans fin…

L’Aube des Jours à venir se lève déjà,
Le ressac de la mer voluptueuse
Nourrit nos yeux ouverts béant, béant.

Ta chevelure singulière brille, délicieuse…
Aucun doute à soutenir dans l’Univers,
Aucun charme ne masque la lumière,
Toute mes larmes dans un Océan
Toutes nos larmes depuis le temps

Il faut apprivoiser l’enfant,
Celui que tu connais depuis hier.
Il faut lui dire combien tu attends,
Après les déserts…

Il est un pays, un monde, un paradis,
Une onde délicieuse habitant chaque choses,
Et comme un Printemps ou jaillit l’emotion,
Nous devons recueillir le nectar des fleurs écloses…

Nous grandissons chaque jours, malgré le temps qui passe,
Nous allons chaque instant charger des jours, charger des nuits,
Des idées cachées et des rêves incertains
la quête d’un horizon accessible
À portée de mains…


Lyrics and Voice by Charles Hubschi.
Music, Drums & Keyboards, by Philippe Niel.

© 2014 Charles Hubschi.

Las Piedras

Charles Hubschi

Je me promène dans la cite de pierre
La nuit s’étend, pas un espace n’échappe
Aux halos jaunes et blafards, Lumière !

La fraicheur humide à pris ses quartiers, elle happe
Et toi, je te sais au chaud, échappé,
Loins de l’errance physique des êtres impersonnels

Je te sais, accompagné par la peur éternelle
Celle de l’animal humain dépenaillé

J’emprunte le chemin des heures blanches
Ou la moindre respiration embrume,
Ou la chaleur n’est plus que désespérée
A l’heure ou le soleil s’allume,

Que son orange ravive le coeur de Pierre !
Eclairant la dernière larme calanchée
Ruinant la ride de l’esprit qui flanche

La fraicheur humide a léchée ses quartiers
Elle sape, alors je course, solitaire
sur l’Ocean de mes pensées

Le jour se lève, sur la cité de verre
dans l’avenue, les facades scintillent
Je te vois assis face à l’écran, solitaire

Plongé sur les courbes, ton oeil brille
De la haut dans ta serre, d’un geste
Tu gère le sillon nourricier,

Creusant la terre, ou ce qu’il en reste
Que le paysan arrose de sang et de suée.
La chaleur humide lèche ses quartiers

Elle sape, et toi je te sais à taper sur ton clavier
Tu rapes, accroché à ta souris tu navigues, Net.
Je te sais hypnotisé, déshumanisé, tu craques.

Je me promène dans ta cité austere, le jour s’étend
Tout l’espace s’échappe, le soleil au zenith écrase de sa lumière
Aussi chaud que l’antre d’Ades, Esculape !

Lyrics and Voice by Charles Hubschi.
Music, Keyboards, Drums & Bass by Philippe Niel.

© 2017 Charles Hubschi & Philippe Niel.

Les Clochards Celestes

Charles Hubschi

Dans le grand bal des étincelles
Le magicien avait rassemblé
De ses mains la matière informelle
Que le jongleur à orchestré.

Les planètes, se sont mises à danser
La valse des temps primitifs
Qui depuis n’a jamais cessé
A la cadence des soleils actifs

Les Clocharde célestes ont bourlingués,
à travers les âges et le temps
Chevauchant les cometes apprivoisées
A la manière de Cavaliers élégants

L’orchestre galactique depuis des eons
L’attirance magnétique du grand soleil
Dans un jeux d’attraction et de répulsion
Nous offre, c’est magique, cette merveille

Depuis longtemps je me promène
Dans l’Espace intergalactique
J’observe dans ce theatre la scène
Ou se joue l’illusion Archaïque

Les Clocharde célestes ont bourlingué,
à travers les ages et le temps
Chevauchant les comètes apprivoisées
A la manière de Cavaliers élégants

Accroché à ton rayon de lune
Vois-tu le frisson qui travers la terre
Le souffle qui parcourt tes dunes
Et l’Aurore au chevet de l’Hivers

Dans le dédale des sphères
Dans le bain magnétique
Le frôlement enchanteur des pierres
Les voyageurs goutent aux liqueurs extatiques

Les Clochards célestes ont navigué,
Parcourant sur des pirogues insensées
Les mers les océans les pensées
A la manière de Cavaliers éloquents.


Lyrics and Voice by Charles Hubschi.
Music, Keyboards & Bass by Philippe Niel.

© 2014 Charles Hubschi & Philippe Niel.

Les Vertébrés

Charles Hubschi

Notre histoire, les vertébrés. Notre memoire du Dévonien
Voila quelques millions d’années ont émergés les amphibiens.

Après que la comète aie percuté, un tendre coin de notre mère,
Après avoir ensemencé, cet atome qu’est notre terre,
Nous nous sommes élevés, d’un bon hors de la boue,
Je t’ai entendu croasser, parler peut-être de nous
Dans la grande marre, nous nous sommes regardés, effarés!
Les yeux de lézard ont clignés, tu criais:

« Ne soit pas raciste, je suis ton frère! Pourquoi tu insistes, à me faire la guerre?
Nous venons tous du même endroit, le même marécage, la même boue.
Blanc, Noir, Bridé, même fous, sur la terre nous sommes des rois.

L’animal, né de terre-océan, émerge du Cloaque,
Ecrasé par les siens, inspiré, poussé, mû par son élan,
Le premier saut quantique du Batracien !

Après les pluies acides, dans le grand bain, l’émulsion,
La saumure ou tu nageais placide, ont commencés « Les Transmutations »

Combien de bonds sur les postérieurs, pour s’élever, se mettre debout !
Contempler ses deux antérieurs, lever les bras, se mettre à genoux !

« Ne soit pas raciste, je suis ton frère! Pourquoi tu insistes, à me faire la guerre?
Nous venons tous du même endroit, le même marécage, la même boue.
Blanc, Noir, Bridé, même fous, sur la terre nous sommes des rois.

Aujourd’hui, je reconnais les miens. Toi, toi, toi que je revois depuis la nuit.
La même volonté rompre les liens, le même désir, ce sentiment fou !
Respires la lumière du vent, une idée, un rêve, une destinée !
Déjà combien d’années depuis le temps !
Combien de temps pour se ressembler, se rassembler.

« Ne soit pas raciste, je suis ton frère! Pourquoi tu insistes, à me faire la guerre?
Nous venons tous du même endroit, le même marécage, la même boue.
Blanc, Noir, Bridé, même fous, sur la terre nous sommes des rois.

Ne sois pas triste: « Tout sur la terre, tu peux dresser la liste, est la pour te plaire ».

 

Lyrics and Voice by Charles Hubschi.
Music, Keyboards & Bass by Philippe Niel.

© 2014 Charles Hubschi & Philippe Niel.